Ayant été hors circuit durant plusieurs mois, il faut que je pige dans les photos faites au d’journal pour avoir un peu de choix pour soumettre des photos à la FPJQ pour les prix Antoine-Désilets 2009. Je ne veux pas faire de la pub pour mon employeur qui m’a crissé à la rue, c’est seulement mon travail que je veux montrer à mes pairs.
On verra bien, verrat.
5 Comments
Je suis toujours sidérée par l’acuité , la finesse, l’impact à la fois si naturel et si scotchant de ces portraits, de ces traversées de vie . On ne dirait pas des photos mais l’empreinte incrustée dans le regard du photographe des êtres et du temps , des grains de peau aux grains de songes . C’est bien une photo qui s’affiche là en plein écran , pourtant c’est comme une re-création , des visites d’évidence qui passent au travers elle. Bravo pour ce travail ! Si éloigné du labeur , du mensonger, qu’il a la plus jolie beauté qui soit : celle du vrai de vrai !
Bravo pour le Prix Antoine-Désilets.
La photo de cette serveuse est un éditorial en soi…!
Félicitation pour le prix Antoine-Désilets! C’est bien mérité!
Dans quel contexte a été prise cette photo de serveuse?
Merci. C’était pour illustrer un texte de Vincent Larouche sur les ennuis de ce resto “Les Princesses” dans le renouvellement de leur permis d’alcool.
Wow. La serveuse et le boxeur, vraiment, me laissent bouche-bée. Bravo Alain, prix bien mérité.