© 2009 Alain Décarie 09-11-30_L9O9239.JPG102

Gilles Carle.

Parfois j’ai obtenu certains privilèges en pratiquant mon métier. Pas tellement dans le fait de passer devant tout le monde quelque part dans un festival ou de me stationner tout près d’une entrée de n’importe quoi. Mais, entre autre, une fois pour les Éditions Liber passer un après midi à faire des photos avec Gilles Carle dans sa maison du Carré Saint Louis, est un exemple des avantages sociaux du métier de photographe. En 1996 il commençait à souffrir du Parkinson mais ça ne l’embêtait pas encore vraiment. Son esprit était vif et nous avions eu des discussions passionnantes. Je l’avais fait rire en lui racontant un de mes  visionnements de “La vie heureuse de Léopold Z” à ciné-quiz au 10 un après midi ensoleillé de juillet 76.  Je garde de très bons souvenirs de ce Monsieur et pleure son départ.

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À l'écriture d'un scénario avec ses outils de travail.

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Gilles Carles aimait cette photo, il trouvait qu'il ressemblait à un peintre.

Et puis il y a eu le lancement du DVD du film “Les Plouffe” à l’automne 2008 que j’avais couvert pour le Journal de Montréal, avant le Lock-Out. Et encore cette fois là j’étais privilégié.

G.Carle

Photo mise en nomination pour le prix Antoine Désilets en 2008.

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